Jérémy Lachartre

Lutter contre la contrefaçon de marques : l’impérieuse nécessité d’une coopération privée/publique

[Cet article est initialement paru en décembre 2016] Pour répondre au phénomène de la contrefaçon, le mot d’ordre est celui de la coopération : coopération étroite entre les entités étatiques d’une part, entre les services publics d’autre part (chargés de la répression et de la fraude), et surtout avec les acteurs privés que ce soit les opérateurs économiques ou les titulaires de droit. Alors que ce trafic illicite international ne cesse de croître, la coopération et la coordination des parties prenantes présentent encore des limites. Cela se manifeste par un dédouanement des responsabilités entre les différents acteurs sur le sujet de la contrefaçon et de sa lutte, un partage de l’information encore hésitant et une utilisation relative des instruments de coopération. L’enjeu majeur réside alors en l’implication des acteurs. Pour cela, communiquer sur la dangerosité des contrefaçons sur les consommateurs apparaît être une stratégie pour inciter à la coopération des acteurs concernés.

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